Ses bras qui me serrent avec force, le bruit d'un baiser et ces quelques mots "je t'aime, maman". Ca met de bonne humeur au réveil.
Les mégas sourires, les regards aimants, les fou rires de Cosette, c'est une chose magique, ça donne envie de sourire aussi, en miroir et je m'en lasse pas. Mais La Tornade, entre deux séances de course hurlante (pour jouer, hein) dans le salon, a parfois des élans d'amour et de tendresse envers nous qui font un bien fou.
L'enfant, dans les premiers temps, commence à sourire et à montrer qu'il est heureux de voir les têtes connues (j'allais dire "ses parents", mais comme Cosette réagit autant à son frère qu'à nous, je pense que c'est plutôt "sa famille"). Puis l'enfant apprend à faire des bisous. D'abord ils sont baveux alors on les aime bien mais pas trop. Quant aux câlins, la maitrise du corps étant encore aléatoire, ils sont souvent de type "coup de boule". Mais petit à petit, ça s'affine. Et puis l'enfant apprend à parler. D'abord il dit "papa" et "maman" puis il ajoute d'autres mots.
Mais finalement, ce n'est que quand il commence à construire des phrases (du moins, c'est ce qu'il s'est passé pour La Tornade) qu'il se met à exprimer ses émotions, ses ressentis. Et là, ça devient très sympa :
"C'est rigolo"
"Je m'amuse"
"Content de te voir"
et...
"Je t'aime, toi !"
Au début, avide de découvrir son corps et le monde qui l'entoure, il n'aime pas trop les gros câlins, rester immobile dans les bras l'ennuie, il veut bouger alors quand on lui demande si on peut avoir un bisous ou un câlin, il dit non et s'en va. Et si on le prend quand même contre nous, il se débat...
Et puis, d'où vient le déclic, je l'ignore... Il fini par réussir à profiter de ces moments magiques. Et là, il se jette contre nous (encore quelques réminiscence de la période "coup de boule") et serre fort. Et il reste ainsi et si on fait mine de lâcher prise, il resserre la sienne. Et de nouveau, cette petite voix qui dit "je t'aime". C'est ... Waow !
Les mégas sourires, les regards aimants, les fou rires de Cosette, c'est une chose magique, ça donne envie de sourire aussi, en miroir et je m'en lasse pas. Mais La Tornade, entre deux séances de course hurlante (pour jouer, hein) dans le salon, a parfois des élans d'amour et de tendresse envers nous qui font un bien fou.
L'enfant, dans les premiers temps, commence à sourire et à montrer qu'il est heureux de voir les têtes connues (j'allais dire "ses parents", mais comme Cosette réagit autant à son frère qu'à nous, je pense que c'est plutôt "sa famille"). Puis l'enfant apprend à faire des bisous. D'abord ils sont baveux alors on les aime bien mais pas trop. Quant aux câlins, la maitrise du corps étant encore aléatoire, ils sont souvent de type "coup de boule". Mais petit à petit, ça s'affine. Et puis l'enfant apprend à parler. D'abord il dit "papa" et "maman" puis il ajoute d'autres mots.
Mais finalement, ce n'est que quand il commence à construire des phrases (du moins, c'est ce qu'il s'est passé pour La Tornade) qu'il se met à exprimer ses émotions, ses ressentis. Et là, ça devient très sympa :
"C'est rigolo"
"Je m'amuse"
"Content de te voir"
et...
"Je t'aime, toi !"
Au début, avide de découvrir son corps et le monde qui l'entoure, il n'aime pas trop les gros câlins, rester immobile dans les bras l'ennuie, il veut bouger alors quand on lui demande si on peut avoir un bisous ou un câlin, il dit non et s'en va. Et si on le prend quand même contre nous, il se débat...
Et puis, d'où vient le déclic, je l'ignore... Il fini par réussir à profiter de ces moments magiques. Et là, il se jette contre nous (encore quelques réminiscence de la période "coup de boule") et serre fort. Et il reste ainsi et si on fait mine de lâcher prise, il resserre la sienne. Et de nouveau, cette petite voix qui dit "je t'aime". C'est ... Waow !
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